Si le nom de Atreyu vous dis quelque chose, c’est sûrement grâce à un souvenir enfoui d’un film culte des années 80 : L’histoire sans fin de Wolfgang Petersen où le jeune Bastien s’enfonce dans un livre peuplé de créatures fantastiques et où il recevra l’aide d’un mystérieux indien surnommé Atreyu. Mais si ce nom ne vous dis plus rien, c’est aussi parce que Atreyu est le nom d’un groupe de Emocore/Post-Hardcore (Pourquoi y a-t-il autant de sous genres dans la musique Métal ?) qui vient de Orange County en Californie. Dans un genre où de nombreux groupes se succèdent sans originalité, il faut bien reconnaître que Atreyu se distingue de ce côté-là. Notamment par l’utilisation dans ce quatrième album intitulé Leads sails paper anchor d’instruments peu courant dans ce genre de musique comme le piano et la trompette. Si l’on ajoute à cela une énergie débordante et un très beau digipack où l’endroit et l’envers trouvent leur place, on obtient un très bel album.
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