Nouvel album du combo moyenâgeux Blackmore’s Night. La reconversion de l’ancienne gloire de Deep Purple s’avère donc très fructueuse puisque Secret Voyage est le septième album de Blackmore’s Night.
Un voyage à travers le temps et l’espace mélangeant habilement sonorités venues de toute l’Europe et des arrangements récents dominés par les guitares électriques de Ritchie Blackmore.
L’album s’ouvre en pleine renaissance avec « God save the keg », un titre qui nous plonge dans les fastes de la cour du roi et qui se clôture par des chœurs profonds et mystiques. Le deuxième morceau constitue sans aucun doute le chef d’œuvre de l’album. « Locked within the crystal ball » constitue un parfait exemple du style Blackmore’s Night. Un morceau long et énergique dans lequel les riffs vengeurs de Ritchie s’agrémentent de chalumeaux et autres cromornes. De plus, on dénotera des enchaînements guitares/voix qui font songer à Mike Oldfield. Un mariage efficace et percutant qui fonctionne à chaque reproduction (« The circle »). A côté de ce style de titre, Blackmore’s Night se complait dans de nombreuses ballades assez mielleuses voire niaises (« Far far away », « Rainbow Eyes »). Pourtant, il faut bien admettre que la voix de Candice Night est très belle, ce qui confère à certaines chansons un charme irrésistible (« Empty words »). Pour autant, on ne comprend pas le grand écart que réalise le groupe sur certains titres comme sur « Can’t help falling in love », sorte de soupe pop FM pour ados prépubères.
On notera aussi des influences slaves avec le très réussi « Toast to tomorrow », un morceau entraînant qui nous emmène sur les rives de la Volga à la rencontre de l’âme russe. Autre titre très réussi, « Peasan’t promise » affirme des influences méditerranéennes que n’aurait pas renié Francesco Banchini. On retrouve dans ce morceau la chaleur de la musique médiévale du bassin méditerranéen si chère au musicien italien.
Ni transcendant, ni raté, Secret Voyage est un bon album de Blackmore’s Night qui satisfera tous les amateurs du groupe.
Un voyage à travers le temps et l’espace mélangeant habilement sonorités venues de toute l’Europe et des arrangements récents dominés par les guitares électriques de Ritchie Blackmore.
L’album s’ouvre en pleine renaissance avec « God save the keg », un titre qui nous plonge dans les fastes de la cour du roi et qui se clôture par des chœurs profonds et mystiques. Le deuxième morceau constitue sans aucun doute le chef d’œuvre de l’album. « Locked within the crystal ball » constitue un parfait exemple du style Blackmore’s Night. Un morceau long et énergique dans lequel les riffs vengeurs de Ritchie s’agrémentent de chalumeaux et autres cromornes. De plus, on dénotera des enchaînements guitares/voix qui font songer à Mike Oldfield. Un mariage efficace et percutant qui fonctionne à chaque reproduction (« The circle »). A côté de ce style de titre, Blackmore’s Night se complait dans de nombreuses ballades assez mielleuses voire niaises (« Far far away », « Rainbow Eyes »). Pourtant, il faut bien admettre que la voix de Candice Night est très belle, ce qui confère à certaines chansons un charme irrésistible (« Empty words »). Pour autant, on ne comprend pas le grand écart que réalise le groupe sur certains titres comme sur « Can’t help falling in love », sorte de soupe pop FM pour ados prépubères.
On notera aussi des influences slaves avec le très réussi « Toast to tomorrow », un morceau entraînant qui nous emmène sur les rives de la Volga à la rencontre de l’âme russe. Autre titre très réussi, « Peasan’t promise » affirme des influences méditerranéennes que n’aurait pas renié Francesco Banchini. On retrouve dans ce morceau la chaleur de la musique médiévale du bassin méditerranéen si chère au musicien italien.
Ni transcendant, ni raté, Secret Voyage est un bon album de Blackmore’s Night qui satisfera tous les amateurs du groupe.
Gwilbreuf, Juin 2008
Myspace du groupe :http://www.myspace.com/blackmoresnight1
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